Bonjour mes belles Âmes.
Savez-vous que plus vous déceler la divinité chez les autres plus vous la verrez en vous-même. « Nous sommes le Divin qui s’est oublié lui-même. Notre travail, le travail c’est de rétablir la connexion » (Satprem. Mère, le matérialisme divin).
La première étape de cette connexion avec qui nous sommes, est de nous questionner sur ce que nous ne sommes pas.
Est-ce que je suis mes mémoires ?
Est-ce que je suis mes émotions ?
Est-ce que je suis toutes mes pensées, croyances et jugements ?
Est-ce que je suis ma position sociale, ma profession, mes possessions ?
Dès que nous comprenons que nous ne sommes pas tout cela, nous nous positionnons à un autre niveau, en prenant conscience de notre véritable identité, il est beaucoup plus facile alors de lâcher prise et de cesser de s’accrocher à nos émotions, à nos croyances, à nos mémoires qui souvent ne nous appartiennent pas, mais sont notre bagage transgénérationnel.
Nous sommes comme des gouttes de pluies qui dès qu’elles rejoignent l’océan deviennent l’océan et l’intègre dans son immensité. La séparation avec le tout n’est qu’une illusion, plus nous nettoyons nos mémoires, plus le voile va se dissoudre, et plus nous allons ressentir cette connexion, cette union, cette alchimie avec le tout.
En observant la nature ou le ciel étoilé vous comprendrez que vous faites partie de ce tout, et là vous trouverez la réponse à la question : Qui je suis ?
Je vous bisouille fort.
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